Hier Sylvaine nous présentait ses ipomées et m'a donné envie de vous montrer les miennes...
Ici elles se ressèment chaque année.
Elles le font avec tant d'ardeur que je suis obligée d'en supprimer...
Elles grimpent sur la façade, à droite de la porte d'entrée
pour fleurir abondamment au bord de la gouttière,
se faufilent dans les trous des volets,
s'enroulent autour des tiges des rosiers,
allant même jusqu'à garnir de jolies guirlandes bleues ou blanches les tuteurs des fruitiers plantés cet automne!
Bonjour Odile! Si je comprends bien, il y a des maisons à Ipomées... la condition semble être de laisser les murs et le jardin en raconter l' histoire, un peu comme chez Sylvaine! Est-ce le cas de ta maison? C'est un peu comme ces pauvres "poilus" perdus, un jour, on en voit le museau, puis 2...et 3 museaux! La famille au complet a fait un petit repérage et a choisi la maison et ses occupants qui semblent leur convenir et la suite de leur vie peut continuer pour notre plus grand bonheur! Les Ipomées doivent un peu vivre en famille, elles se partagent les jolis coins d'un jardin, leur présence est visible et joyeuse, et pourtant elles gardent un peu ce côté sauvage, pousser où bon leur semble...mais pas chez nous!!!Pourtant on a eu une famille de chats, 3 museaux, 3 perdus à apprivoiser et à aimer! Alors avis aux Ipomées sauvages et libres, il y a des coins à investir ici!
RépondreSupprimerEt pour tes vendanges, ça doit être un vrai plaisir de déguster ce raisin doré à souhait!
L'automne est beau, non?
Des bises,
Carole.
Tu dois avoir raison, notre maison doit être une "Maison à Ipomées"! ;)
SupprimerQuant aux poilus perdus, ils sont deux à avoir trouvé le chemin de la maison.
Le premier est arrivé tout petit, à peine 5 ou 6 semaines il y a 16 ans et vieillit tranquillement ici.
La seconde est arrivée alors qu'elle avait 6 ou 7 mois dans la nuit du 5 au 6 janvier 2009.
Bien qu'elle ait un caractère très affirmé et qu'elle mène les autres poilus de la maison à la baguette (deux chats et un chien), elle a su se faire aimer...même si elle n'a pas la douceur d'une fleur d'ipomée!
Bises