En passant près de mon gros pot à l'intérieur duquel je verse les eaux ayant servi à nettoyer les légumes, je vois une pauvre petite créature épuisée et proche de la noyade se débattant faiblement avec l'énergie du désespoir.
Ne faisant ni une ni deux, j’attrape ma pelle à litière (une toute propre, posée à côté de ce grand pot et prévue pour sauver les pauvres insectes ne parvenant pas à remonter au bord du pot), je repêche la pauvrette et la pose sur le muret du coin des fuchsias en espérant qu'elle se remette.
Elle n'a pas fière allure toute trempée qu'elle est...
Heureusement, il y a du soleil et la belle, après un long moment de récupération, se frotte le corps et les ailes avec ses pattes pour se sécher.
Et la voici plus guillerette...
Enfin, bien sèche et remise de ses émotions, elle prend son envol pour se poser quelques instants sur les brachycomes avant de repartir!
Je sauve aussi des bébêtes tombées dans le bassin et lorsque je vois une abeille se prendre dans une toile d'araignée, je la libère au grand mécontentement de la propriétaire ! lol
RépondreSupprimerDans tous les contenants d'eau du jardin, vidés régulièrement pour supprimer les larves de moustiques, je laisse toujours une rampe d'accès (branche, tuteur, tige fleurie parfois) pour que les baigneurs imprudents puissent regagner la rive sans moi...c'est que le maître nageur sauveteur n'est pas toujours là quand il faudrait! Mdr
RépondreSupprimerBonne semaine Odile!